Fidel
Soldado de las Ideas
"Si l’on a octroyé le Prix Nobel à Obama pour avoir remporté des élections dans une société raciste bien qu’il soit Afro-américain, Evo le méritait tout autant pour les avoir gagnées dans son pays, bien qu’il soit indigène, et pour avoir en plus tenu ses promesses."
Réflexions du compañero Fidel:"UN PRIX NOBEL POUR EVO", Le 15 octobre 2009.
Si l’on a octroyé le Prix Nobel à Obama pour avoir remporté des élections dans une société raciste bien qu’il soit Afro-américain, Evo le méritait tout autant pour les avoir gagnées dans son pays, bien qu’il soit indigène, et pour avoir en plus tenu ses promesses.
Les compagnies pharmaceutiques transnationales parviennent à accumuler d’importants profits grâce à leurs productions, dont beaucoup s’obtiennent à partir de matières premières venues du tiers monde, et qui savent utiliser le « vol de cerveaux » pour former leurs meilleurs teams de chercheurs.
Né à Miami, il a grandit à Cuba et il y a reçu toute son éducation car, après l’aurore de 1959 qui amena la fin d’une dictature sanglante, ses parents avaient décidé de revenir à leurs racines antillaises.
"Je souhaite voir dans cette décision, plutôt qu’un prix au président étasunien, une critique de la politique génocidaire suivie par nombre de présidents de ce pays qui ont conduit le monde au carrefour où il se trouve aujourd’hui, une exhortation à la paix et à la recherche de solutions qui permettrait à notre espèce de survivre. "
Réflexions du compañero Fidel: "LE GLAS SONNE POUR LE DOLLAR", Le 9 octobre 2009.
Intervention à la Table ronde spéciale en hommage au Héros national de Cuba, José Martí, au théâtre Karl Marx de La Havane.
Ecrit un document durant un moment de repos à l'occasion d'une longue tournée dans l'Est du pays.
Fidel, Raúl et le Che à l'aéroport de La Havane.
Fidel et Raúl : Meeting et veillée funèbre aux victimes du sabotage de l'avion de Cubana de Aviación à la Barbade (1976). Derrière, de gauche à droite, Armando Hart, Blas Roca (entre Fidel et Raúl).
Durant sa visite à Washington, Fidel montre le "Journal American" qui annonce un complot contre sa vie.
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