Citas

«(...) quand les hommes combattent et que les femmes le peuvent, le peuple est invincible. »

Renvoi au texte original: Discours prononcé par Fidel Castro Ruz sur la place Céspedes, à Santiago de Cuba, le 1er janvier 1959

“Je sais que lorsque un peuple est uni comme celui-ci et a foi et a des hommes qui ne vont pas le trahir, c’est un peuple invincible et que rien ne pourra vaincre la Révolution ”.

Renvoi au texte original: Discours à Artemisa, le 17 janvier 1959
Notre Révolution compte quatre chose qui constituent justement des motifs d’orgueil pour les Cubains: d’abord, une Révolution qui a le peuple derrière elle ; une Révolution où le gouvernement peut dire qu’il a l’armée derrière lui ; une Révolution qui a une doctrine : une Révolution qui fait des lois vraiment révolutionnaires.
Renvoi au texte original: Au meeting organisé sur la Place civile au retour de son périple à l’étranger, 8 mai 1959.
“Aucune force n’est capable de mobiliser les peuples autant que les idéaux. Quand les idéaux révolutionnaires se seront accomplis et qu’il ne sera plus nécessaire de vivre sur le pied de guerre, quand le peuple cubain aura satisfait ses aspirations, alors ces meetings ne seront plus nécessaires.
Renvoi au texte original: À Santa Clara, 21 juin 1959

«Je me conforte dans ma conviction que Cuba ira de l’avant, que Cuba aura une grande destinée et que son grand peuple mérite les gloires qu’il est en train de glaner par son héroïsme dans la guerre, par sa vertu dans la paix et par le courage qu’il continuera de montrer mille fois, à supposer qu’il faille empoigner de nouveau les armes mille fois».

Renvoi au texte original: Sur l’avenue Garzón à Santiago de Cuba. 30 noviembre 1959.

« On pourra faire disparaître notre peuple de la face de la Terre, mais on ne pourra jamais le vaincre, car, fort de sa raison, de son héroïsme, de sa dignité, de son honneur et de sa grandeur, il est invincible et il faut le respecter. »

Renvoi au texte original: À la remise de la cinquième station de police au ministère de l’Éducation pour en faire une école. 11 janvier 1960.
Si l’or pouvait plus que l’idéal, la patrie serait perdue, parce que ce n’est pas l’or qui manque à nos ennemis pour acheter les consciences. Et pourtant tout l’or de nos ennemis ne réussit pas à acheter la conscience d’un révolutionnaire !
Renvoi au texte original: À la clôture du Congrès de travailleurs du bâtiment (La Havane), 29 mai 1960