Citas

"Mais il faut toujours insister sur un point : si nous ne pouvons pas tout inventer, nous devons être du moins au courant de tout. Vous avez maintenant l'Internet, qui vous permet d'obtenir des informations de n'importe où dans le monde en quelques minutes. Un scientifique cubain peut chercher des informations aussi bien en Chine qu'au Japon ou ailleurs, et ça, personne ne peut y mettre un blocus. On ne peut nous bloquer l'accès aux connaissances".

Renvoi au texte original: Discurso pronunciado en la Clausura del V Congreso del PCC, efectuada en el Palacio de las Convenciones, le 10 octobre 1997

"On n’a pas souvent accès, au milieu de cette lutte d’idées qui a lieu à l’échelle mondiale, aux médias contrôlés par les grandes sociétés transnationales, ou aux grandes chaînes de télévision ou d’information ; or, il y a toujours la possibilité de faire parvenir le message au monde, toujours, et la tâche sera plus réalisable dans la mesure où les communications se développent.".

Renvoi au texte original: DISCOURS PRONONCÉ À LA CLÔTURE DE LA RENCONTRE INTERNATIONALE ECONOMÍA-98. Palais des congrès. 3 juillet 1998

"Je suis absolument convaincu que ce problème ne se réglera pas par la force. Je suis absolument convaincu que toutes les techniques militaires se brisent sur la volonté de résistance d'un peuple, quel qu'il soit, décidé à lutter. Je suis convaincu, comme je le suis en ce qui concerne ce pays-ci, qu'un peuple décidé à lutter, aucune puissance, aussi forte qu'elle soit, ne peut le faire plier".

Renvoi au texte original: Adresse à la réception de la délégation ont participé à un sport Baltimore, le 4 mai 1999

"Je pense que ce dont les peuples ont besoin, ce n'est pas tant d'armes que d'idées. Pour substituer à une mondialisation inhumaine, intenable, qui menace la vie de la planète, un ordre social juste et humanitaire, qui offre à l'humanité l'occasion de survivre, un monde qui puisse avoir un peu d'eau potable, un monde qui dispose d'air pour respirer, un monde qui puisse disposer des aliments nécessaires, un monde qui soit capable, grâce à sa riche technologie, de produire les toits dont les personnes ont besoin pour vivre, les écoles dont les enfants ont besoin pour s'éduquer, les médicaments dont les habitants ont besoin pour protéger leur santé, les soins médicaux dont tout le monde a besoin, les enfants, les jeunes et les personnes âgées".

Renvoi au texte original: Allocution prononcée par Fidel Castro Ruz, premier secrétaire du Comité central du Parti communiste de Cuba, président du Conseil d'Etat et président du Conseil des ministres, lors de la remise de médaille José Bonifacio (grade de Grand Officier) à l'Univ

“Les techniques les plus perfectionnées par lesquels on prétend nous convertir en esclaves ou en sujets d’un pouvoir impérial universel ne peuvent et ne pourront jamais vaincre la conscience et l’intelligence des êtres humains..”

Renvoi au texte original: ALLOCUTION DE FIDEL CASTRO RUZ, PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE DE CUBA, AU MEETING ORGANISE POUR LE QUARANTE-CINQUIEME ANNIVERSAIRE DU DEBARQUEMENT DES EXPEDITIONNAIRES DU GRANMA ET DE LA NAISSANCE DES FORCES ARMEES REVOLUTIONNAIRES, SUR LA PLACE ANTONIO MACE

“Du point de vue politique, nous vivons une époque où il y a et il y aura toujours plus d’armes plus puissantes que celles provenant de la technologie, à savoir les armes de la morale, la raison et les idées. Sans ces armes, aucune nation n’est puissante, alors qu’avec ces armes, aucun pays n’est faible.”

Renvoi au texte original: Réponse du Président de la République de Cuba aux déclarations du gouvernement américain sur les armes biologiques, 10 mai 2002

“Surgies tout au long de l’évolution de l’espèce humaine, elles dureront aussi longtemps qu’elle. Qui n’a jamais été autant menacée par la combinaison du sous-développement politique de la société et des créations de la technologie qui semblent illimitées et dont la capacité d’autodestruction devient absolument irrationnelle. Guerres d’extermination, changements climatiques, famine, soif, inégalités, voilà ce qui nous cerne de toutes parts.”

Renvoi au texte original: Réponse au message de l'Union des jeunes communistes