Citas

Si l’or pouvait plus que l’idéal, la patrie serait perdue, parce que ce n’est pas l’or qui manque à nos ennemis pour acheter les consciences. Et pourtant tout l’or de nos ennemis ne réussit pas à acheter la conscience d’un révolutionnaire !
Renvoi au texte original: À la clôture du Congrès de travailleurs du bâtiment (La Havane), 29 mai 1960
“Ces vertus grâce auxquelles notre peuple peut affronter résolument n’importe quelle situation, ce sentiment patriotique, cette conscience civique, cette maturité politique, cette intelligence révolutionnaire qui ouvre les esprits de tous nos citoyens aux grandes vérités, qui unit tout le peuple, cette voie-là, nous ne l’abandonnerons jamais.
Renvoi au texte original: Au déjeuner offert par les membres du Directoire étudiant de 1930 (La Havane), 23 juin 1960

"Et nous voulons que tous les enfants soient heureux ! C’est pour que les enfants soient heureux que nous avons lutté, c’est pour que les enfants soient heureux de nombreux patriotes ont donné leur vie, depuis Martí et Maceo et tous les autres".

Renvoi au texte original: Discours l’Inauguration du Palais des Pionniers, le 6 janvier 1962

“Si, derrière la patrie souveraine, si, derrière le drapeau libre, si, derrière la Révolution rédemptrice, il n’y avait pas un peuple résolu et héroïque comme celui-ci. Sans lui, la patrie ne serait pas libre, le drapeau ne serait pas souverain, la Révolution ne marcherait pas de l’avant avec cette fermeté si inébranlable!”

Renvoi au texte original: Discurso en la segunda asamblea nacional del pueblo de Cuba, celebrada en la Plaza de la Revolución

"Nous savons aujourd'hui ce qu’est notre peuple, ce qu'il représente ; nous connaissons ses valeurs morales, car une patrie, une révolution, une conscience révolutionnaire, le patriotisme socialiste, l'internationalisme prolétarien sont des valeurs morales, une conscience révolutionnaire au sein du peuple (applaudissements). Tout ça n'est pas né en un jour. Il a fallu plus de cent ans pour en arriver là".

Renvoi au texte original: POUR LE CENTENAIRE DE LA PROTESTATION DE BARAGUÁ, commune Julio Antonio Mella, Santiago de Cuba, le 15 mars 1978
Je crois que nous méritons un destin meilleur, que nous avons droit à un destin meilleur : par la noblesse de nos peuples, leur talent, leur patriotisme, leur courage, leurs sentiments, nous  méritons un destin meilleur.
Renvoi au texte original: Clôture le Troisième Congrès continental de femmes à La Havane, 7 octobre 1988
« Il n’y rien de comparable au sens de la dignité et de l’honneur. Il n’y a rien de comparable au sens du patriotisme et à la fierté des hommes et des femmes d’un peuple révolutionnaire.»
Renvoi au texte original: Discours prononcé à la Centrale sucrière «Cándido González», Camagüey, le 12 février 1996