Citas

"La Révolution a éveillé le sens moral du peuple, la solidarité parmi les hommes et les femmes de notre peuple. Elle a aboli l’égoïsme et fait de la générosité la vertu principale de chaque citoyen. Elle a recueilli le meilleur de la nation. Elle a balayé, elle a purifié, elle a moralisé, elle a racheté".

Renvoi au texte original: Au défilé effectué sur la Place civique (La Havane). 2 janvier 1961.

“Cette Révolution-ci, nous saurons la défendre, aussi puissants que soient les ennemis, aussi puissant que soit l’Empire yankee, aussi grandes que soient ses ressources. Plus l’ennemi sera puissant, plus grands seront les obstacles, et plus notre peuple grandira ”.

Renvoi au texte original: DISCOURS PRONONCÉ PAR FIDEL CASTRO RUZ EN HOMMAGE AUX MÈRES DES BOURSIERS, CITÉ SCOLAIRE LIBERTÉ, le 13 mai 1962

"C’est que nous n’admirions pas seulement le guerrier dans le Che, l’homme capable de grands exploits. Ce qu’il avait fait et ce qu’il était en train de faire :affronter avec une poignée d’hommes toute une armée oligarchique, instruite par les conseillers yankees, équipée par l’impérialisme yankee, appuyée par les oligarchies de tous les pays voisins, constitue en soi un exploit extraordinaire".

Renvoi au texte original: Discours prononcé par Fidel Castro Ruz à la veillée solennelle à la mémoire d’Ernesto Che Guevara, sur la place de la Révolution de La Havane, le 18 octobre 1967
« Notre peuple sait parfaitement combien la conduite des combattants révolutionnaires a toujours été différente et durant  toute l’histoire de la Révolution… parce que ce qui a toujours primé, ce sont les principes de la Révolution, sa discipline et sa dignité. »
Renvoi au texte original: Discours pour le vingtième anniversaire du soulèvement révolutionnaire du 5 septembre, à Cienfuegos, le 5 septembre 1977

"Au nom de quelle morale les dirigeants d'une nation où coexistent le millionnaire et le mendiant, où l'Indien est exterminé, où le Noir est discriminé, où la femme doit se prostituer, où de grandes masses de Chicanos, de Portoricains et de Latino-Américains sont méprisés, exploités et humiliés, osent-ils parler de droits de l'homme ?".

Renvoi au texte original: Pour le Vingt-cinquième Anniversaire de L’attaque de la Caserne Moncada, à la cité Scolaire 26-Juillet, Santiago de Cuba, 26 juillet 1978

"Notre patrie ne se refusera jamais à œuvrer en faveur de la paix, à discuter et à résoudre les différends par des négociations, ceci sans renoncer pour autant à un seul atome de sa morale, de sa dignité, de sa souveraineté et de ses principes. Notre patrie ne se refusera pas non plus à coopérer avec des formules qui puissent contribuer à résorber les tensions dans notre région et dans le monde. Nous estimons qu'il est du devoir inéluctable de tous les peuples et de tous les hommes d'État de lutter pour l'avenir et la survie de l'humanité qui n'a jamais été autant menacée de mort. Nous-mêmes avons besoin de paix. La paix signifie pour notre peuple un avenir rayonnant et sûr. Mais la paix ne se conquiert pourtant pas par des indécisions et des concessions devant l'agressivité impérialiste. Toute concession à l’agresseur ne fait que le conforter dans ses visées morbides et ouvre la voie au joug, à l'oppression et à la reddition".

Renvoi au texte original: Oour le Vingt-cinquième Anniversaire de la Révolution, à Santiago de Cuba, le 1er janvier 1984

"Une révolution ne peut naître que de la culture et des idées".

Renvoi au texte original: Allocution prononcée au Grand Amphithéâtre de l'Université centrale du Venezuela