Citas

«Les hommes qui sont tombés dans nos trois guerres d’indépendance joignent maintenant leurs efforts avec les hommes qui sont tombés dans cette guerre-ci, et nous pouvons dire à tous nos morts des luttes pour la liberté que l’heure où leurs rêves s’accompliront a enfin sonné».

Renvoi au texte original: Discours prononcé par Fidel Castro Ruz sur la place Céspedes, à Santiago de Cuba, le 1er janvier 1959
La République n’a pas été libre en 1895 et le rêve des mambis s’est frustré au dernier moment ; la Révolution ne s’est pas faite en 1933, escamotée par ses ennemis. Cette fois-ci, la Révolution a avec elle le peuple tout entier, tous les révolutionnaires, tous les militants honorables. Sa force est si grande et si irrépressible que cette fois-ci le triomphe est assuré !
Renvoi au texte original: Sur la place Céspedes, à Santiago de Cuba, 1er janvier 1959
Quand un peuple bâtit son avenir, quand un peuple est sorti du passé et a brisé ses chaînes, et qu’il a ouvert une brèche dans une muraille d’intérêts, il ne se résignera jamais à rebrousser chemin, et rien ni personne ne pourra le vaincre.
Renvoi au texte original: À un meeting à Pinar del Río, 20 mai 1960
“Nous sommes forts non parce que nous avons des fusils, mais parce qu’il y a des hommes et des femmes prêts à les manier, parce qu’il y a un peuple prêt à les utiliser pour défendre ses droits sacrés et ses grandes aspirations !
Renvoi au texte original: À l’Assemblée extraordinaire des employés et ouvriers du commerce, au théâtre de la CTC Révolutionnaire, 4 juin 1960
« Cette grande humanité a dit : “Assez !” et elle s’est mise en branle. Et les géants ne s’arrêteront qu’une fois conquise la véritable indépendance pour laquelle ils sont morts plus d’une fois en vain. Quoiqu’il arrive, ceux qui meurent maintenant mourront comme ceux de Cuba, comme ceux de Playa Girón ;  ils mourront pour la seule indépendance qui en vaille la peine et à laquelle ils ne renonceront jamais : l’indépendance véritable. »
Renvoi au texte original: Deuxième Déclaration de La Havane : 4 février 1962
« Cette grande humanité a dit : “Assez !” et elle s’est mise en branle. Et les géants ne s’arrêteront qu’une fois conquise la véritable indépendance pour laquelle ils sont morts plus d’une fois en vain. Quoiqu’il arrive, ceux qui meurent maintenant mourront comme ceux de Cuba, comme ceux de Playa Girón ;  ils mourront pour la seule indépendance qui en vaille la peine et à laquelle ils ne renonceront jamais : l’indépendance véritable. »
Renvoi au texte original: Deuxième Déclaration de La Havane : 4 février 1962

"[...…] lutter pour la paix signifie aussi lutter pour l’indépendance des peuples, pour la liberté des colonies, pour le développement économique des pays les plus pauvres, pour délivrer les peuples de l’exploitation et de la domination impérialistes".

Renvoi au texte original: Discours prononcé à la cérémonie de remise du Prix Lénine de la Paix, Théâtre Chaplin, 21 mars 1962