Citas

"Chaque fois qu'un Cubain arrive illégalement aux Etats-Unis, il a l'envie ou le besoin d'y faire venir ensuite des parents et des amis, ce qui multiplie et renforce les départs illégaux. La fameuse loi d'Ajustement cubain engendre ce phénomène, qui n'apporte rien à la société nord-américaine. Les USA ne pourront jamais rétablir la discipline sur les côtes tant qu'elle existera. C'est sur les autorités passées et présentes de ce pays-là que retombe entièrement la responsabilité des victimes disparues tout au long de trente années et de celles qui continueront de disparaître dans ces aventures, par suite de cette politique immorale, anachronique, dénuée de la moindre éthique et de tout sens humain".

Renvoi au texte original: L'ESSENTIEL DES RÉFLEXIONS SUR L'ÉMIGRATION ILLÉGALE STIMULÉE PAR LES ÉTATS-UNIS CONTRE CUBA PENDANT QUARANTE ANS, MATANZAS, 3 août 1999

“Les parents devraient être les premiers à éduquer leurs enfants. Et pour garantir l’éducation des enfants, il faut garantir l’éducation des parents”.

Renvoi au texte original: Allocution prononcée par Fidel Castro Ruz, président de la République de Cuba, à la cérémonie de remise des diplôme aux instituteurs ayant suivi une formation accélérée, théâtre Karl Marx (La Havane), le 2 septembre 2002

“Parfois, certaines personnes, qui habitent dans des coins éloignés du pays, sont victimes de l’ignorance et ne sont pas au courant de l’existence de la sécurité sociale ou de la possibilité de recevoir les soins requis ; dans ces cas aussi, l’armée des travailleurs sociaux se charge de repérer ces enfants, de les peser et de les mesurer pour déterminer si le poids et la taille sont en fonction à l’âge correspondant”.

Renvoi au texte original: Discours prononcé lors de la cérémonie de la remise des diplômes de la 6e année des écoles primaires de Cardenas, Matanzas, le 21 juillet 2005

"Quelle est la morale d’un révolutionnaire ? Toute pensée révolutionnaire débute par un peu de morale, par un peu de valeurs. À cet égard, les parents, les professeurs jouent un grand rôle. Le révolutionnaire n’a pas ces idées infuses, pas plus qu’il ne naît en sachant déjà parler. Quelqu’un doit le lui apprendre. L’influence de la famille est aussi très grande".

Renvoi au texte original: ALLOCUTION DE FIDEL CASTRO RUZ, PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE DE CUBA, POUR LE SOIXANTIÈME ANNIVERSAIRE DE SON ENTRÉE À L’UNIVERSITÉ, DANS LE GRAND AMPHI DE L’UNIVERSITÉ DE LA HAVANE, LE 17 NOVEMBRE 2005